La Grèce(II)

Mycènes.

La ville antique de Mycènes entre XVII et XIIème siècle.

Ca reste quand même assez impressionnant que de revenir plus de trente siècles après son apogée. On peut toujours voir quelques beaux vestiges comme la salle du trône, et il est ne reste plus qu'a s'imaginer Agamemnon en train de préparer la guerre de Troie.

Le cercle royal et ses tombes.

La porte des lionnes marquant l'entrée de la ville.

Le trésor d'Atrée . Tombeau royal datant d'environ 1300 av. J.C. en forme d'une ruche ayant plus de 13 mètres de haut.

Au dessus de l'entrée du tumulus, une pierre d'une taille inimaginable (pesant d'après les experts 120 tonnes) forme le linteau. Elle est réellement gigantesque, et on ne peut qu'être émerveillé devant l'ingéniosité qui a été nécessaire pour la tailler, puis la mettre en place on ne sait pas comment.

Mais surtout, ceci démontre également la richesse de Mycènes.

La croix toute en haut du tumulus n'est pas une croix, mais Renata que s'étire!

Epidaure.

Autre lieu, autre décor, mais restons encore dans le Péloponnèse: le site d'Epidaure. La principale attraction est bien entendu son théâtre.

A coté, le sanctuaire d'Asklipios. Malheureusement il n'en reste plus grand chose, mais il faut en retenir que ce fut le premier hôpital!

Renata met en pratique ce que nous avons lu dans le guide: un murmure au centre de l'arène doit être entendu par toute l'assemblée!

Mistra et la plaine de Sparte.

S'il ne reste rien de la Sparte de l'antiquité, même pas une ruine ou deux, il faut faire un bon en arrière jusqu'au XIIIème siècle de notre ère, pour trouver les premiers vestiges en la ville fantôme de Mistra. Elle fut construite 1249 par Guillaume de Villehardouin afin d'en contrôler la région.

Aujourd'hui on se promène dans ses rues désertées depuis bien longtemps. Comme par miracle, seules les nombreuses églises sont encore en excellents états.

Ithomi.

C'est un petit village perdu en plein milieu du Péloponnèse. Il y a plusieurs sites qui sont tous libres d'accès et gratuits, et en plus il n'y a personne. C'est l'occasion de passer une bonne après-midi à déambuler entre les pierres.

C'est l'heure de manger. Nous profitons de ce moment de tranquillité pour faignanter un peu.

Ces remparts entouraient la ville et sa région, telle une mini muraille de Chine.

Olympie.

Le site d'Olympie à été très abîmé par le temps, mais comme bien souvent, l'intérêt est dans l'imagination. Durant sept jours et tous les quatre ans, les meilleurs athlètes s'affrontaient et le gagnant recevait tous les honneurs en plus d'une couronne d'olivier! On est bien loin de la rémunération de nos chers athlètes d'aujourd'hui.

Les premiers J.O. auraient commencés vers 776 avant notre ère pour se terminer en 393 après J.C. L'empereur chrétien Théodose trouvait les jeux beaucoup trop païens. Son successeur décida même de raser Olympie. Il fallu attendre 1896 et l'initiative de Pierre de Coubertin pour que les jeux olympiques modernes refassent leurs apparitions.

Olympie c'est également là où Phidias réalisa la statue chryséléphantine (d'or et d'ivoire) de Zeus. Du temple de Zeus qui abrita l'une des sept merveilles du monde, Il ne reste plus que quelques colonnes tombées avec grâce.

Et bien sûr le stade et son entrée. Ne cherchez pas les gradins pour vous asseoir, il n'y en avait pas. Un simple talus suffisait pour contenir le public.